Depuis de nombreuses années, le Belgian Balloon Club participe au plus grand rassemblement de montgolfières en Europe. Ce meeting a lieu tous les deux ans en Lorraine, et rassemble près d’un millier de pilotes sur une période de 10 jours.
Le mondial air ballons
En cette année 2019, le Lorraine Mondial Air Ballon est devenu le Grand-Est Mondial Air Ballons. Il se déroulera du vendredi 26 juillet au dimanche 4 août. Pour cette nouvelle édition, profitant de l’attrait de nos ballons de prestige que sont la réplique et Tolfy. Nous débarquerons en France avec sept ballons ! Plus que les autres meetings, notre séjour en Lorraine est devenu une activité « club » du BBC.
L’organisation
Tous les membres participants sont logés chez l’habitant. Le midi, nous nous retrouvons toutes et tous à l’Auberge du Vieux Moulin pour un repas convivial. Après le vol du soir, c’est le foyer du village de Xonville qui nous ouvre ses portes pour un buffet préparé les épouses. Vous devez vous demander ce que font les hommes dans tout cela ? Les pilotes complètent leur carnet de vol et sirotent un apéro bien mérité puis se chargent de la …vaisselle après le repas ! Le terme convivialité n’est pas un vain mot car chaque participant veille aussi à apporter une spécialité de sa région.
Durant le séjour, l’équipe organisatrice veille à faire voler tout le monde y compris nos logeurs. Pour faire encore plus connaissance et dans un souci de convivialité, nous les invitons à participer à un de nos repas du soir. Même si tenir dix jours relève de l’exploit, tout le temps gagné (préparation des repas, vaisselle, file plus courte au gaz..) nous donne la possibilité de faire une sieste l’après-midi ou de participer à la partie de pétanque d’Hadonville…
La minute nostalgique
En effet, notre organisation s’améliore chaque année car il est loin le temps où nous logions sous tente, nous réchauffions nos repas (sous vide) le midi chez Jean et Sylviane et bivouaquions sur la base à la belle étoile et par tous les temps ! Ceux qui ont participé aux premières éditions se souviennent aussi des heures d’attente au gaz et des files pour sortir de la base parmi les nombreux visiteurs qui rentraient chez eux.
